COMITÉ POUR lES DISPARITIONS FORCÉES
Le Comité des disparitions forcées (CED) est un organe d'experts indépendants chargé de surveiller la mise en œuvre de la Convention internationale pour la protection de toutes les personnes contre les disparitions forcées. Cette convention vise à prévenir et interdire les disparitions forcées, à punir les responsables et à protéger les droits des victimes et de leurs familles.
La 27ème session s’est tenue du 23 septembre au 4 octobre 2024 au Palais Wilson, Genève. L’IOPDHR-GENEVA-NGO, en tant qu’organisation non gouvernementale basée à Genève et engagée dans les questions relatives aux droits de l’Homme, a pris part à cet événement sous diverses formes.
Contributions de l’IOPDHR-GENEVA-NGO
Contribution orale :
Le vendredi 16 août 2024, l’équipe de l’IOPDHR-GENEVA-NGO a envoyé une demande officielle au secrétariat du CED (à l’adresse ohchr-ced@un.org) pour intervenir sur les cas relatifs au Maroc.
Contribution écrite :
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Le mardi 21 août 2024, un rapport bilingue (français et anglais) concernant la situation des disparitions forcées au Maroc a été soumis au secrétariat du Comité.
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L’IOPDHR-GENEVA-NGO a demandé la publication officielle de ce rapport, disponible sur la plateforme de l’OHCHR, rubrique Comité des disparitions forcées Rapport accessible ici:
Participation aux sessions et interventions:
1. Briefings de la société civile :
Les membres de la société civile, y compris l’IOPDHR-GENEVA-NGO, ont participé aux sessions de briefing du 24 septembre 2024 :
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.Matinée : 8h45 à 9h45;
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Après-midi : 13h30 à 14h45
2. Présentation orale :
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L’IOPDHR-GENEVA-NGO a présenté son intervention orale sur les disparitions forcées au Maroc lors d’une session spécifique;
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Cette présentation a permis de mettre en lumière les préoccupations relatives aux droits des victimes et aux responsabilités étatiques.
Conclusion
La participation de l’IOPDHR-GENEVA-NGO à la 27ème session du Comité des disparitions forcées a renforcé l’importance de la mobilisation de la société civile dans la lutte contre les disparitions forcées. Les contributions écrites et orales de l’ONG ont été des opportunités pour plaider en faveur d’une meilleure protection des droits des victimes et d’une responsabilisation accrue des États.
Phase 1: présentation du rapport conjoint
Phase 2: participation à la 27e session